Île-de-France: le couple de proxénètes exploitait une adolescente de 15 ans

Seulement trois petites années pour un récidiviste qui prostitue de force (autant dire qu’il s’auto-rémunère grâce aux dizaines de viols d’une adolescente), une autre preuve incroyable et minable du machisme de notre société. Et les violeurs, ils s’en sortent tranquillement ?

La jeune fille était contrainte de recevoir des clients, jusqu’à quinze par jour, dans des appartements et chambres d’hôtels en Île-de-France. Un homme et une femme, de 25 et 23 ans, ont été arrêtés et condamnés par le tribunal de Bobigny.

La suite ici : https://www.leparisien.fr/seine-saint-denis-93/le-couple-de-proxenetes-exploitait-une-adolescente-de-15-ans-12-09-2021-HBPPAD7ZR5FUHOROYZRGPSNI4A.php#xtor=AD-1481423553

Prostitution des mineurs : « J’étais morte de l’intérieur », confie Marion, exploitée sexuellement pendant son adolescence

Clients – qui ne sont rien d’autre que des violeurs – ou proxénètes, ces gens ne méritent pas de vivre en liberté...

La jeune femme a été exploitée sexuellement entre ses 15 et 18 ans. Dans l’impossibilité de s’enfuir, sous emprise, elle vit un calvaire dicté par son proxénète. Elle a accepté de témoigner pour franceinfo.

Suite ici : https://www.francetvinfo.fr/societe/prostitution/temoignage-prostitution-des-mineurs-j-etais-morte-de-l-interieur-confie-marion-exploitee-sexuellement-pendant-son-adolescence_4628405.amp

Paris : l’enfer de la prostitution d’un réseau nigérian devant la justice

Ceux qui achètent ce genre de « services » sont des violeurs et doivent être traités comme des violeurs.

« Elles étaient mineures ou tout juste majeures. Elles ont été violées et contraintes de se prostituer dans le nord de la capitale par des Nigérians. Le procès s’ouvre ce lundi. »

Suite de l’article ici :

Élisabeth Badinter ou la grande imposture

Élisabeth Badinter, la célèbre « féministe » actionnaire de l’agence de publicité Publicis (et on sait tous que la publicité n’est ni machiste ni manipulatrice…), tout en n’étant pas gymnaste elle-même, réussit à faire le grand-écart avec une étonnante facilité.

D’abord, au nom de la liberté des femmes, elle est pour la prostitution (lien), pour la GPA (lien) et pour la publicité (lien).

Mais ensuite, au nom de la liberté des femmes, elle est contre la burqa (lien et lien) et contre le voile (lien) qu’elle considère comme une insulte à la liberté des femmes et à la démocratie (lien). Et cela tout en travaillant pour redorer l’image de l’Arabie Saoudite (pays pas franchement en pointe question droits des femmes) (lien).

Ainsi, une femme « libre » peut louer les services de son corps mais pas le couvrir d’un bout de tissu. La libération des femmes c’est la prostitution, la location de l’utérus et la marchandisation du corps dans la publicité (capitalisme oblige) alors que couvrir ce corps et ne pas l’exposer à la marchandisation revient à être une esclave dénuée d’esprit critique et de libre arbitre. En gros, pour les femmes, il vaut mieux être au service du capitalisme plutôt que d’être au service (soi-disant) de l’islam radical.

Actionnaire de Publicis et fan (à peine voilée) de Marine Le Pen (lien – dernière question où elle montre qu’elle ne connaît rien à la laïcité car celle-ci n’est pas un combat contre l’islam mais la neutralité de l’État en matière de croyances et la liberté de chaque citoyen de vivre une option spirituelle choisie), je vous présente Élisabeth Badinter.