Tel devrait être le monde, telle devrait être l’indignation des parents, telle devrait être l’éducation que nous donnons à nos enfants. J’accuse le Ministère de l’Éducation Nationale qui, soumis aux industries et aux idéologies du crime, oblige nos enfants à manger des cadavres. A quoi sert d’apprendre aux enfants à s’émouvoir devant « Le monde de Nemo » si après le film on leur sert du poisson ? Vraiment, réveillons-nous… n’obligeons pas nos enfants à tuer des êtres qu’ils voudraient pour amis, laissons la sensibilité des enfants se développer et ne la dirigeons pas seulement vers des animaux exotiques car la douleur et la souffrance ne connaissent pas de frontières culturelles. Ne faisons pas semblant de protéger uniquement « les espèces en voie de disparition », protégeons (et vraiment) toutes les espèces. Tous les animaux méritent considération et respect, qu’ils soient nombreux ou pas, qu’ils soient loin ou proche. Nous apprenons aux enfants que la discrimination est une mauvaise chose, et que faisons-nous quand nous les obligeons à manger le poulet mais à caresser le chien? Nous manquons à notre parole, l’éducation de générations entières sera grandement compromise tant que nous, les adultes, resterons aussi hypocrites et lâches. Apprenons aux enfants que le nombre de pattes, la couleur des plumes ou de la peau, la longueur du museau, la forme corporelle, la taille du cerveau etc. ne permettent en aucun cas de faire des hiérarchies de valeur. Il y a une grande faille dans notre éducation, nous devons faire le lien entre le steak et le cadavre, entre le cuir et la peau arrachée, entre le foie gras et la maladie provoquée. Tant que nous ne le ferons pas, nos enfants deviendront « schizophrènes » comme nous, prônant d’un côté le respect des animaux et de l’autre contribuant directement à leur souffrance et mort. A quand la cohérence entre les paroles et les actes, à quand l’honnêteté et le courage, à quand le bon exemple ? « Éduquer veut dire être un exemple, tout le reste est du dressage ». Oswald Bumke
J’aime toujours autant ta prose.
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[…] Nous, les humains, élevons des animaux dans le seul but d’en soutirer notre subsistance, et ce, par centaine de milliers. Ils sont nés et élevés uniquement pour finir dans notre assiette. Certains veaux ne voient jamais le jour, d’autres sont enlevés à leur mère. Les poulets sont entassés par centaines dans des cages étroites, quand ils ne perdent pas une patte ou une aile (voire les deux) dans l’aventure. Ce sont des milliers d’êtres vivants que l’on envoie sans état d’âme et dans des conditions insupportables, se faire éviscérer et découper en rondelles. L’idée même de manger des cadavres d’animaux révulsent tellement certaines personnes… […]
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Et au fait, j’ai établi un lien entre mon blog et cet article, sur cet article-ci: http://foliealeatoire.wordpress.com/2011/08/25/de-la-discrimination-religieuse-masquee-ou-la-france-pays-laic-laissez-moi-rire/
voilà!!
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🙂 Merci très chère. Je peux en dire autant de toi, même si des fois c’est un peu pointu et je ne comprends pas 🙂
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