Le consentement est pourtant simple, pas besoin d’être un fin psychologue, juste de s’intéresser un minimum à l’autre et un peu moins à ses pulsions à soi ! De plus, ceux qui se croient virils en forçant une femme n’ont en fait, tout au contraire, aucune virilité, ils n’ont qu’une indignité crasse car s’ils étaient si désirables qu’ils se croient, ils n’auraient pas besoin d’employer la force ou l’intimidation. Tout homme qui force une femme (ou un autre homme) perd par là même sa prétendue virilité car le fort, le « viril » (même si ce n’est évidemment pas synonyme, sauf dans l’esprit machiste) relève les autres, ils ne les écrase pas. Ceux qui écrasent les autres sont toujours des lâches car ils se vengent sur les plus fragiles des humiliations qu’ils subissent (ou croient subir) de la part des plus fort qu’eux.