Menu végétarien dans les cantines : pas de surcoût et moins de gaspillage, selon une étude de Greenpeace

Une vingtaine des quelque 200 communes qui proposent chaque jour une option végétarienne ont été sondées. Résultat : 9 fois sur 10, ce repas coûte moins cher ou s’équilibre en terme de budget. Les villes constatent aussi une moindre quantité de viande gâchée.

Suite de l’article : https://www.franceinter.fr/menu-vegetarien-dans-les-cantines-pas-de-surcout-et-moins-de-gaspillage-selon-une-etude-de-greenpeace

#PlusDeVégé : les lycéens réclament du vert dans les assiettes des cantines

Depuis mardi 6 avril, une campagne #PlusDeVégé a été lancée sur les réseaux sociaux. Lycéen.ne.s et associations environnementales réclament des options végétariennes quotidiennes dans les cantines.

Suite de l’article ici : https://www.neonmag.fr/plusdevege-les-lyceens-reclament-du-vert-dans-les-assiettes-des-cantines-575115.html

Victoire historique : l’État condamné pour inaction climatique

Il y a des personnes derrière ces décisions d’inaction. Ces personnes doivent payer pour les conséquences de leur irresponsabilité.

C’est avec beaucoup d’émotion que nous écrivons ces mots aujourd’hui : deux ans après la mobilisation incroyable qui a porté l’Affaire du Siècle, NOUS AVONS GAGNÉ !

La justice vient de reconnaître que l’inaction climatique de l’État est illégale, que c’est une faute, qui engage sa responsabilité.

Suite de l’article : https://laffairedusiecle.net/victoire-historique-letat-condamne-pour-inaction-climatique/

Encadrer la pub et l’influence des multinationales : un impératif écologique et démocratique

Encadrer fortement la publicité devrait être l’un des buts principaux de n’importe quelle politique qui se veut démocratique et écologique. Au-delà des dégâts écologiques qu’elle provoque à travers la surconsommation à laquelle elle incite fortement, il y a aussi les dégâts démocratiques, idéologiques, psychologiques et intellectuels. La publicité nous instille l’idée que les possessions font le bonheur (elle nous fait nous égarer dans notre quête du bonheur en nous faisant croire que le vide psychologique peut être rempli par des objets), qu’il faut posséder pour avoir de la valeur et que la valeur des personnes se mesure à leurs possessions. Elle utilise aussi des humains pour mettre en valeur des produits (ainsi les humains sont au service du produit et pas l’inverse).

Les publicitaires disent que nous avons la liberté de regarder la publicité. Or, n’importe qui peut voir que cette affirmation est un mensonge éhonté : en ville, par exemple, nous n’avons pas le choix, la publicité nous est imposée. A quel moment avons-nous voté pour cela ? Jamais, la plupart des gens y étant opposés. Il n’est pas normal, dans un démocratie, d’imposer ce matraquage à une population qui n’en veut pas.

Ce que l’on peut faire à l’échelle individuelle :

  • sur internet on peut installer dans le navigateur les extensions Ublock et Privacy Badger
  • sur la boîte aux lettres on peut apposer un autocollant « Stop pub »
  • changer de chaîne TV ou de station radio dès qu’il y a des pubs
  • privilégier si possible les marques qui ne font pas de publicité

La publicité et la com’ des multinationales ne servent pas seulement à vendre toujours plus de produits, souvent pas très bons pour le climat ou la santé. Elles servent aussi à influencer, sans le dire, l’opinion publique et les décideurs pour protéger leurs modèles de profit. Une nouvelle publication, dont l’Observatoire des multinationales est partenaire, propose plusieurs mesures pour protéger notre démocratie de l’intoxication.

Suite de l’article ici : https://www.bastamag.net/encadrer-la-pub-influence-multinationales-imperatif-ecologie-democratie

 

Un ancien ingénieur à la Nasa veut planter 32 milliards d’arbres d’ici à 2050 avec des Drones

Un drone capable de planter 26 milliards d’arbres d’ici 2050… C’est le projet fou de Lauren Fletcher qui a mis au point un drone unique en son genre !

Suite de l’article ici : https://www.neozone.org/ecologie-planete/un-ancien-ingenieur-a-la-nasa-veut-planter-32-milliards-darbres-dici-a-2050-avec-des-drones/?no_cache=1

« La pandémie n’est pas une vengeance de la Terre, c’est le résultat de notre rapport à la nature »

Le nouveau virus, issu d’un contact entre l’humain et l’animal, pose la question de notre rapport au monde vivant. La philosophe Virginie Maris s’intéresse depuis longtemps à ces sujets : dans un livre passionnant, La Part sauvage du Monde (Seuil, 2018), elle interroge les voies d’une possible cohabitation entre humains et non-humains, en rappelant qu’il faut pour cela « restreindre notre territoire ». Première partie de cet entretien.

Suite de l’article ici : https://www.bastamag.net/covid-vengeance-de-la-nature-biodiversite-pathogenes-surconsommation-specificite-humaine-Virginie-Maris